Accompagner le développement des premières activités industrielles agroalimentaires, des salaisonniers et des conserveries corréziennes est le commencement de l’aventure familiale Chantalat.
C’est en 1962 que Jean-Jacques Chantalat fonde l’entreprise. Il s’installe sur la zone de la Marquisie à Saint-Pantaléon. L’usine de fabrication jouxte la commune de Brive où certains de ses clients sont implantés sur la zone industrielle de Beauregard (Abattoirs de Brive, Diépal (ex Blédina)), Bizac, etc. À cette époque, l’entreprise Chantalat est spécialisée dans la conception, la fabrication et la reconstruction de machines agroalimentaires.
Techniciens de bureau d’études, dessinateurs, chaudronniers, électroniciens ou encore sableurs (à l’époque 42 collaborateurs) œuvrent, chacun dans leur étape, pour fabriquer ou redonner vie à des hachoirs, mélangeurs et fours industriels, cutters ou marmites de cuisson, etc.
Au fil des années, la PME familiale se développe et propulse ses ventes à l’exportation qui représentent 30 % des commandes. Les clients sont situés dans toute la France. La société a bonne presse et acquiert une notoriété affirmée dans son domaine.
Aujourd’hui, Chantalat est un leader incontournable en France dans la vente de matériel agroalimentaire d’occasion.
À partir des années 2000, rester compétitif sur la conception et la fabrication de machines agroalimentaires relève du challenge. Ainsi, recentrer l’activité sur le savoir-faire en reconstruction de machines devient la priorité. Et très vite, l’idée de racheter des équipements agroalimentaires chez les industriels pour les rénover émerge dans l’esprit de Jean-Marc, le fils du fondateur.
“Puisque les fabricants de machines agroalimentaires ne reprennent pas le matériel qu’ils vendent, Chantalat doit prendre une nouvelle direction et se recentrer dans le rachat, la rénovation et la revente”.
En 2004, Jean-Jacques cède l’entreprise à son fils Jean-Marc. Il devient gérant, prend les commandes et se positionne largement sur le négoce de machines agroalimentaires. D’abord sur le marché de l’occasion, puis à partir 2010 sur le marché du neuf lorsq u’il crée sa propre marque Chantalat Process.
Une partie de l’usine de production de la zone de la Marquisie devient un véritable showroom d’exposition des machines rachetées chez les industriels. L’expertise de la PME est désormais la vente de matériel agroalimentaire neuf et d’occasion.
Poursuivre la tradition familiale est bien l’objectif de Clément Chantalat, le fils de Jean-Marc et le petit-fils du fondateur. Impliqué depuis le plus jeune âge, Clément intègre l’entreprise familiale en 2011, d’abord en stage de fin d’étude, puis en tant que responsable commercial.
Pour lui, l’outil de production est un élément déterminant pour la compétitivité de ses clients. Il est important de le moderniser et de veiller régulièrement à la pertinence de ses réglages et programmes. Il mise donc sur une approche sur-mesure de très haute qualité pour offrir à tous les niveaux un service performant basé sur le conseil, une équipe de professionnels et près de 60 ans d’expérience.
“Notre force est l’expertise de longue date que nous avons développée en reconstruction de machines. La connaissance fine que nous avons capitalisée sur chaque machine vous assure d’une réactivité sans faille”.
L’approche sur-mesure signifie que Chantalat est aussi capable de trouver pour vous la machine dont vous rêvez parmi les plus grandes marques, Alimat Tremblay, Seydelmann, Auriol, Risco, Magurit, Stephan, et de la reconstruire à l’identique grâce à des éléments modernes.
Depuis le 30 juin 2020, Jean-Marc a passé le relais à son fils. Clément est le nouveau gérant de Chantalat aux côtés de ses collaborateurs : chef d’atelier, électronicien, chaudronnier et responsable des ventes pièces détachées.
184 Avenue de la Marquisie, Z.I. de la Marquisie - 19600 Saint Pantaléon de Larche
+33 (0)555 86 94 94 - contact[at]chantalat.com
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